Premiere semaine turque

Juste un résumé de la semaine, plus de détails et impressions suivront dans des articles prochains.

Jeudi 23 mai

Je passe la journée à Edirne, en mode balade, cybercafe et sieste. Je fais la rencontre de Jean Paul, cycliste français également sur la route d’Istanbul, en provenance de Paris. Lui fait la route en mode express, 5 semaines sans s’arrêter, mais dort a l’hôtel tous les soirs. Merci pour le café !

 

Vendredi 24 et samedi 25 mai

Direction la cote de la mer noire. Avec pour mission sur la route de trouver une carte de la Turquie, ma carte Bulgare arrivant bientôt au bout. Je ne m’attendais pas a cette galère ! On ne trouve pas de carte dans les stations services, ni chez les libraires, ni dans les kiosques a journaux, je finirai par en trouver une assez nulle mais mieux que rien dans une espèce de droguerie\papeterie. 

J’arrive samedi en fin d’après midi dans le petit village de Kıyıköy, petit village de pêcheurs, qui commence sa saison touristique.

Dimanche 26 mai

Je découvre notamment la raison pour laquelle les stations touristiques turques sont principalement sur la mer Mediterrannee. C’est simple, l’eau est glaciale, imbaignable ! Du genre qui fait mal aux pieds quand on les trempe 2 minutes. Je n’ai vu qu’une seule personne se baigner, et elle n’était même pas turque ! Les familles se contentent de picniquer sur la plage, et de se tremper les pieds,les enfants barbotent en faisant des pâtés, mais pas de baignade.

Ya pire comme point de vue le matin en se levant

Lundi 27 et mardi 28 mai

Je quitte Kıyıköy pour rejoindre un autre village sur la cote (il n’y a pas de route côtière permettant de longer la mer, obligation de retourner 30km dans les terres) Yalıköy.

Mercredi 29 et jeudi 30

Je me fais un deuxième week end a la mer, avant de reprendre la route d’Istanbul, étant bien en avance pour retrouver Isabelle a Constantinople.

 

Vendredi 31 mai et Samedi 1 juin

Direction Istanbul. Bouh, qu’est ce que la banlieue est moche ! Ca construit des immeubles a la chaîne en étendant la ville vers le Nord (un troisième pont sur le Bosphore en construction au Nord de la ville va continuer cette expansion urbaine).

 

Pas de souci pour entrer dans Istanbul, j’utilise le GPS sur mon smartphone pour prendre des routes acceptables (merci OpenStreetMap et ses cartes offline). Pas mal de circulation mais je m’attendais a bien pire. 

Et en arrivant dans le quartier de mon auberge de jeunesse, c’est en voyant des groupes de jeunes, lunettes de piscine et masque de peinture\chirurgie, courir tous dans le même sens, que je devine qu’il y a quelque chose dans l’air, and it ain’t love …

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