Le Pha That Luang, Vientiane. Monument bouddhiste pendant le festival du That Luang. Plus de détails dans un prochain article.

Laos PDR, pour People’s Democratic Republic. Ou pour Please Don’t Rush, qui colle assez bien au pays.

Apres la Chine qui avance a 100 a l’heure, le Laos est beaucoup plus relax. Ca commence des la frontière ! Apres une semaine de pluie dans le Sud de la Chine, il suffit de passer la frontière pour avoir un grand soleil, 30 degrés, des coups de soleil, …

Malgré une alerte au typhon, je n’aurai eu que 3 fois 3 gouttes de pluie (même pas de quoi penser à sortir la veste de pluie) pendant les 3 semaines de mon premier passage au Laos (à l’heure ou cet article se publie, je dois être en train d’y entrer a nouveau, en provenance du Vietnam cette fois).

Bon, le changement d’heure n’est pas vraiment favorable, maintenant le soleil se couche a 17h30. Nuit noire a 18h. Pour compenser il faudrait que je me lève plus tôt le matin, mais ce n’est pas vraiment ma spécialité.

Le pays est majoritairement rural, avec des grosses villes tous les 200km environ, et des petites villes et villages tout le long de la route. Entre tout ça, de la jungle et de la montagne dans le Nord du pays. Et pour le sud, je vous dirai ca plus tard, je m’y dirige.

Juste après la frontière chinoise, donc, je tombe sur Boris, français a vélo parti de Pékin en vélo, et de France en train. On a jamais vraiment roulé ensemble mais on s’est croisé plusieurs fois de la frontière jusqu’à Vientiane, de bons moments a chaque fois. Egalement recroisé en route, le trio suédois rencontré dans le Sud de la Chine.

Ici il est temps que je quitte le cyber café vietnamien si je ne veux pas me faire piéger par la nuit. Je vous détaillerai la suite de mes trajets Laotiens et Vietnamiens dans des prochains articles. Mais, sauf bonne surprise, je pense pas recroiser de connexion a internet avant le 23 ou le 24 decembre. D’ici la, des bisous !